Apple iPhone 6S Plus Case : Apple replaced the traditional physical Home button that’s been on every iPhone since the original version with a capacitive touchpad that mimics a physical press with vibrations from a motor inside the iPhone 7 called the Taptic Engine.
coque iPhone 6s étanche : It is also rumored to be engineered with Exynos 7420 processor that is seen in the Galaxy S6. Apart from that, it is expected to be packed with 3GB of RAM, but some other leaks states that it might only be 2GB.
iPhone 6 plus designer wallets : Under the company founder Steve Jobs, Apple was driven by the core values of uniqueness and being different from the rest of the industry players
ce-qui-reste : « Des fois , des fois, j’vais pas très bien / Alors j’lance les mains dans mes poches / Et j’men vais à la pêche aux riens / Où j’ai planqué du c’est moins moche. »
macfly0014 : Salutations : t'as laisser ce tag chez moi "ce-qui-reste : Penser à revenir par ici, une fois que j'aurai les yeux en état!...=) ça à l'air bien ici, tout de même.". Juste une piqûre de rappel donc :). Bien à toi...
lencyclopedie : Salut Leila. Je savais que t'avais un cowblog toi aussi. Décidement, c'est la grande découverte du jour. Bonne continuation ma vieille ++
groundzero : Merci beaucoup pour tes commentaires. Ils sont touchant, du moins, ils m'ont fait énormément plaisir. Ton blog est réussi, même si je n'en ai jeté qu'un coup d'oeil. Je repasserais, à coup sur.
Aperopastaga : c'est parceque c'ets écrit sur le troisieme article de la deuxieme page =) mais quand meme dans el tiens yen a plus, mais c'est pas moi qui vais m'en plaindre j'aiem bien les mots .
Aperopastaga : salut à toi =) beaucoups de mots sur ton blog, mais chapeau et re chapeau pour que tu connais oaistar =)
Mon truc, à moi, c'était voler. Je savais voler. Un oiseau, oui, parfaitement, un oiseau. Vous savez, l' Albatros.Celui de Baudelaire. Celui qui ne savait pas marcher. Mais alors quand il volait...Qu'est-ce que c'était...beau? C' était lui, tout simplement. Pour ceux qui ne voient pas, un extrait, pour vous montrer, pour vous saisir, pour que vous puissiez saisir.
Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
À peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d’eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !
L’un agace son bec avec un brûle-gueule,
L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait !
Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l’archer ;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l’empêchent de marcher.
Finalement, je vous l'ai mis en entier. Oh, bien sûr, je n'étais pas poète, enfin, je ne prétendais pas l'être. Mais là n'est pas la question qui me touche aujourd'hui. C'était juste pour vous impressioner : Vous imprimer une image. L'albatros. L'indolent compagnon de voyage, l'infirme volant, le roi maladroit. Des ailes de géant, voilà ce qu'il y avait céans. Je volais sur les mots, vlaaaaam, fuuung, sfoooou, psss, je sautais de l'un à l'autre, je jonglais, je ciselais...De la voltige, j'vous dit, un numéro d'équilibriste. C'était ça mon équilibre. Voler.
Un petit albatros mais un albatros quand même. J'avais des ailes au bord des yeux...
Je savais voler. Et ils m'ont fait poisson pour pouvoir naviguer dans leurs eaux...Mais je ne peux même pas nager moi!
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"La vérité, est comme une couverture qui vous laisse les pieds froids.
On a beau tirer dans tous les sens, y'en a jamais assez
On la tire, on la pousse
Et elle est trop petite pour nous tous.
Du moment où on entre en gémissant,
Au moment où on part agonisant
On se cache sous la couverture!
Et on pleure, on crie, et on se meurt..." Le Cercle des Poètes disparus.
"Truth, like, like a blanket that always leaves your feet cold."
"Forget them, forget them! Stay with the blanket, tell me about that blanket!"
"You, y- y- you push it, stretch it, it'll never be enough. You kick at it, beat it, it'll never cover any of us. From the moment we enter crying to, to the moment we leave dying, it'll just cover your face as you wail and cry... and scream." The Dead Poets Society.
A (vouloir) m'essouffler
J'ai peur de gagner le droit,
Gagner le droit de la fermer, De plus pouvoir me regarder .
C'est sentir sur toi Mes yeux se relâcher
A grands coups de "Allez, allez..."
De voir se hisser
Jusqu'où tu sais
Le sommet joue en pointe
Qu'on a toujours regardé.
Alors on s'relais
On en passe des journées
Créant des opportunités
On en laisse sur le bas côté...
On ne cesse de gérer
Pour ensuite contre attaquer
La balle elle se laisse porter
De transversales en reprise de volées
Et moi de voyager
d'un p'tit bout d'intimité
Un p'tit coin d'éternité
A vouloir parier J'ai peur de gagner le droit
D'être aux absents abonnés
Aux exigences mal placées
Ma santé fragile
Mon tibia, péroné Je cherche à rêver
L'utile shoote les yeux fermés
C'est la fatigue, c'est le froid; C'est les erreurs et c'est la peur. C'est Novembre et son lot de gerçures qui me préssure....
C'est les pleurs devant les heures...c'est la pluie qui nous suit et l'envie qui s'enfuit. Les fêlures saillantes au fond des yeux, les gorges serrées...
Pour vous : pour toi Raphaël, et puis pour Toi Clément, ...Pour moi, aussi...Again...On en est là, tous les trois...C'est à vous que je pense. A Clément, surtout.
Je publie ici, des morceaux choisis de ce que j'ai écrit dans un de mes carnets dans l'année 2007...J'écris dans mon petit vieux Moleskine tout fatigué maintenant :) Mais toujours présent...J'écris dans la rue, souvent dans le métro, j'écris dans les transports, de partout....^^
"Je ne sais pas écrire, mais depuis quand faut-il savoir faire une chose pour la faire quand même?" (janvier 2007) _________________________________________________________________________________________________
"Everybody try to survive to something in his mind." (Mars 07)
_________________________________________________________________________________________________ Alfred de Musset :"On a bouleversé la terre avec des mots." _________________________________________________________________________________________________ Mano Solo, Je suis venu vous voir : "Tu sais que dans mon cœur même moisi flotte encore Violence et Tendresse. Mon existence ne tient pas qu'à ma graisse, Je suis Esprit avant d'être un corps, Je suis mort mais rien n'est fini Il reste ma voix et bien peu d'écrits...Oh j'avais surtout une grande gueule, pour chanter des chansons d'amour..." _________________________________________________________________________________________________ "Pendant un moment, se retrouver. Le silence de la simplicité. Je veux encore ces moments où les mots n'ont pas leur place [...] La fumée salvatrice, la durée réparatrice...[...] Ce vide. Cette solitude de l'âme et du coeur, bien plus puissante que celle du corps. Qui comprends ce que ça peut être, de sentir que l'on s'éloigne à chaque fois un peu plus de notre quintessence, se perdre dans le tout, se cogner sans cesse aux autres, se diluer. Les yeux fermés, expirer cet air opiacé, se ressourcer...Saisir l'insaisissable." ____________________________________________________________________________ (Inspiration romantique dans mon lit, finie le lendemain devant un cinéma) : " Des hauteurs de mon lit Le ciel semble plus beau. Et l'heure file au galop l'aube claire chasse la nuit...
Une étoile encore Là est la lumière vraie Celle qui nous lie jusque l'ivraie Qui nous fait miroiter 1000 trésors.
Le bleu, le bleu du ciel La voix, la voix charnelle/ chancelle Le vent, le vent irréel La fée, la fée éternelle/ étincelle.... Que tout est beau, et doux! Et fait du sage, un loup Qui rôde, prisonnier de ses passions loin de toutes vos convictions! Et le poète vole dans l'immensité perpétuel voyageur dans le zéphyr poursuivant sa quête d'humanité... Pour lui? Amour, toujours et joliesse sont des saphyrs qui le guident sans détours vers le pays des 1001 vies, la saveur des tendres nuits.
C'est là tant que les hommes dorment qu'il s'évade, se ressource sous les ormes car la Gosse le retient ici bas où il se perd, se vide de son éclat... Malheureusement il erre, imitant cette apparence d'homme, résiste à l'attirance du gouffre humain qu'est la réalité qui le prive de sa félicité. " ______________________________________________________________________
" Hear me laughing... when you're weap and moan.... Cuz' when it's good, it's so so good When it's gone, it's gone!
Besoin d'évacuer. Quoi, je ne sais pas. Je suis aussi remontée qu'un coucou transgénique qui aurait muté pour devenir un aigle aux griffes acérées. Quelle image. Et voilà, métro bloqué. 50% de mes trajets sont ponctués d'incidents de ce genre. C'est marrane le hasard. Le hasard est le songe de la réalité. En ce sens où le hasard provoque des situations incongrues, ou juste inattendues. D'un coup, quelque chose se passe. Bam. La réalité change. Nous sommes toujours présents mais une nouvelle donne est lancée...La vie, mais en édulcorée." _______________________________________________________________________________________ (été 07) "Aimer c'est un peu offrir sa solitude à l'autre. Elle est alors travaillée par l'amour, elle se mêle à l'autre, son individualité, et l'autre emplit notre solitude. On la lui a donnée et il appose ses empreintes. Quand on dort, on ne partage rien avec l'autre, finalement. Chacun reprend son souffle , reprend ses battements de coeur, les yeux sont fermés et on va s'enfermer dans le sommeil. Les plus passionés des amants deviennent alors des êtres que rien ne lie, si ce n'est le lit. Ils ne sont plus ensemble, mais côté à côte et ce jusqu'à ce qu'ils reprennent contact. Il n'y a guère que l'attachement physique à l'autre qui peut nous donner un indice quand à leur realtion. Le sommeil ressemble à des flammes froides. Il n'y a rien de plus personnel." _________________________________________________________________________________________ Batlik- L'abandon : " Il est tard, En fait, pas très tard, Mais en tout cas trop tard...Pour que toi et moi on se voie Surtout pour que moi je vienne jusqu'à chez toi... [...] Toi tu commences à paniquer je regarde tes eyux devenir tout rouges alors que tu montres la porte du doigt En gueulant: " bouge, bouge de chez moi..." Ca y est, je fuis... Et quelqu'un a du rajouter des marches, ou alors c'est l'effet du hasch Mais plus je m'échappes et plus ta voix me rattrape... pendant que je descends Je sais maintenant que l'abandon est un crime et que la fuite est son châtiment..." ___________________________________________________________________________________________________ " Telle qu'elle était, Cass frôlait la folie; telle qu'elle était on la traitait de folle. [...] Il restait de la bière, on s'est assis pour bavarder, et là, j'ai vraiment senti combien Cass était une fille ouverte, gentille.Elle se donnait sans réfléchir. Mais il suffisait d'une seconde pour qu'elle se referme, qu'elle retombe dans une incohérence sauvage. Schizo. Belle, intelligente et schizo. Un homme, le moindre accident, pouvaient la démolir pour toujours." Peut-être pas pour toujours, mais des cicatrices naissent. Arrosées de larmes, de douleur et de douceur, de colère et de folie. " " Cass, connasse, je t'aime...arrête de te démolir. Tu es la fille la plus vivante que j'ai jamais rencontrée." On s'est encore embrassés. Cass pleurait sans bruit, ses larmes gouttaient sur ma peau. Ses longs cheveux noirs m'enveloppaient comme le drapeau de la mort. Notre étreinte fut lente, obscure et merveilleuse."Charles Bukowski. _____________________________________________________________________________________________________________________ André Breton, l'Aigrette : " C'est assez que d'armer pour une fin sans fond vos yeux de ces larmes ridicules qui nous soulagent. Le ventre des mots est doré ce soir, et rien n'est plus en vain."
Mille et Mille fois : "Il faut se méfier à l'idée que roulent les torrents Ma construction ma belle construction page à page Maison immensément vitrée à ciel ouvert à sol ouvert C'est une faille dans le roc suspendu par des anneaux à la tringle du monde c'est un rideau metallique qui se baisse sur des inscriptions divines que vous ne savez pas lire Les signes n'ont jamais affecté que moi Je prends naissance dans le désordre infini des prières Je vis et je meurs d'un bout à l'autre de cette ligne Cette ligne étrangement mesurée qui relie mon coeur à l'appui de votre fenêtre Je correspond par elle avec tous les prisonniers du monde" _________________________________________________________________________________________________
"La musique habille le désespoir de tendresse, de douceur, et d'apaisement. Les mots décorent l'âme d'arabesques mystérieuses. Ils sont des routes qui nous soutiennent ou nous perdent selon l'empreinte de la vie. Les émotions sont des transports à la manière des ailes d'Hermès ou de la barque du passeur, et ceci pour mener aux profondeurs de nos intérieurs." _________________________________________________________________________________________________ "Je suis folle. Partir, comme ça, sur un coup de tête, prendre le bus pour Martigues à 16h pour aller retrouver des souvenirs, et lire sur l'herbe, près de la mer, ailleurs qu'à Marseille. Prendre un bus, laisser s'échapper les éclats de rire, lire et écouter les variations de Rachmaninov sur un thème de Chopin. Pour un moment de plus, pour 4 pages d'un livre sur un banc devant l'église près du quai, j'ai loupé le dernier bus. C'est bête mais je ris de la situation. C'est vrai, c'est comique! Papa, lui, ne rit pas. C'est dommage. C'est pas grave. Je prendrai le bus pour Aix et delà, la navette pour Marseille. Y'a toujours un moyen. Et quand bien même. C'est pas si grave un bus manqué! Moi je trouve ça délicieux, j'aurais passé une après-midi dans un sourire, saupoudrée d'un brin de fantaisie..." __________________________________________________________________________________________________ "Peu souvent connait le répit Un coeur marqué par la vie. " ( <== vers libres....)
"Toutes ces individualités...Des fantômes." _________________________________________________________________________________________________
"Je t'aime darling! - C'est ça. C'est exactement ça. Allez vous faire foutre. Toi, ton amour et ton bel air brun. Tout ça va mal finir. Ça n'a même pas commencé. "
"L'homme conscient, lucide, sait qu'il a perdu. Dès le départ, il connait le résultat final. Le temps courra toujours plus vite que lui et ses yeux seront usés avant d'avoir fait un tour concret de la vie. Il sait qu'il a perdu, alors il profite de la course avant que le rideau se baisse et que le gagnant l'emporte, ne laissant qu'une trace imperceptible de son passage." _________________________________________________________________________________________________ " Can you hear me No one knows me I just can't deny
And i go where you are And i pray/try everytime
Can you see me In this dark light Falling heavy Feeling softly Fearing in the night...
And I go where you are And I hope everytime...." _________________________________________________________________________________________________________ (Nov-déc 07) J'écris dans le métro, j'étais malade et il y a du avoir des racailles avec leur musique de m**** et leurs cris à la c**....ce qui explique la violence du texte! ^^
"Ça vous donne une style de tousser comme si votre plèvre se décollait. "Regardez, je crève." Et le pire, c'est que ça me fait rire. J'adore, je me prends des fous rires intérieurs phénoménaux. Je m'éclate comme une folle en vous regardant. "Avec cet air de petite pute qui se prend pour le président de la République". Et quand je ne te regarde pas, tu tournes la tête vers moi. Et là je lève les yeux, je te fixe mais tu ne veux pas me voir. C'est dérangeant un observateur. S'il a de beaux yeux en plus....Il t'intrigue. C'est monstrueux la réalité parfois. Fermez-la. Faudrait vous bloquer les cordes vocales. Je ne les supporte plus, cette bande de singes échappés de leurs tours. Qui savent pas parler en ne disant plus que "oh frère! oh!" ou qui crachent leur salive au lieu de s'en servir pour construire un discours, ou un silence intelligent. Fermez-là. Je donnerais cher pour vivre des temps où la conscience ne serait pas réduite par de la bouillie culturelle. Pour vois l'agitation et la décadence du XIXème, des années 70, des années 30. Ici, il n'y a que le mouvement, le bruit et l'état. Pas même la chute. C'est intéressant, une chute." _________________________________________________________________________________________________________
"Le truc c'est l'égoïsme. C'est la conscience. C'est les pupilles dilatées et les mains qui tremblent parfois. C'est le monde nu comme un ver. C'est ce rayon de soleil. C'est cette crasse sous les ongles, c'est cette poussière qui recouvre tout. Sauf qu'on est quelques perchés qui voyons tout ça et qui grattons sous la croûte. Pour voir."