Mercredi 12 décembre 2007 à 14:47

Chopin, Batlik, Tracy Chapman, The John Butler Trio, Tryo, Massilia Sound System, Eric Clapton, John Lee Hooker, Ray Charles, Jerry Lee Lewis, Elvis, The Blues Brothers, Aldebert, Siméo, La Rue Kétanou, Karpatt, The Pixies, TTC, Bob Marley, Ben Harper, Mano Solo, Rachmaninov, Canned heat, Daft Punk, Jimmy Hendrix, Joan Baez, Estrella Morante, Motorhead, Debout sur le Zinc, Ayo, Glen Hansard, Jeff  Buckley, Noir désir, Ska-p, Oaï Star, Bénabar, Ours, Le peuple de l'herbe, Damien Rice, Danny Elfman, Gary Jules...Et des dizaines d'autres...

Je vous laisse profiter du dernier couplet de la dernière chanson de Damien Saez : Jeunesse Lève-toi.

"Contre la vie qui va, qui vient
puis qui nous perd
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient
puis qu'on enterre
Contre la trace qui s'efface
au derrière de soi,
Jeunesse lève toi!"


Mercredi 12 décembre 2007 à 14:22

Allez, arrête un peu. Allège le poids des mots qui défilent dans ta tête. Arrête de te laisser assaillir par ces pensées éphémères mais tellement vraies qui t'emplissent : du rayon de soleil que tu savoures pleinement à la connerie d'un autre que tu subis en passant par l'argent que tu as. Allez, arrête un peu tout ça. D'aller sur la route de cette manière, pose ton sac, fermes les yeux, fermes la perception, fermes la réflexion. Allez, arrête. Un peu.

Mercredi 12 décembre 2007 à 13:57

Je ne comprends pas. Enfin si je comprends mais l'Humain m'intriguera toujours.
Il s'avère que nous vivons sur une terre que nous détruisons, pillons, polluons. C'est connu de tous au jour d'aujourd'hui. Il y a des alertes qui nous parviennent : réduisez votre consommation d'électricité, de pétrole, préférez la marche à la voiture, triez vos déchets, consommez moins de sacs plastiques, (presque ne baisez pas vous rejetez trop de dioxyde de carbone)...
En bref, prenez conscience de votre impact dans la dégradation de la nature et veillez à réduire un mode de consommation polluant.
Mais la Consommation et le conditionnement qu'elle a opéré sur l'humain sont trop écrasants : Je consomme. Je vais au supermarché en bas du lycée pour me prendre à manger, une fois arrivée en caisse, la caissière, automatiquement met mes achats dans un sac plastique. Au lieu de me laisser le choix d'en utiliser un. J'ai un sac en toile où il y a mes cours avec moi, pourquoi je prendrai un sac plastique, que je jetterai dans une poubelle dans 25 minutes? Mes aliments sont déjà emballés dans du plastique, ça suffit je pense.
Je vous arrête, je ne suis pas une "écolo" : chez moi, il n'y a qu'une poubelle où sont jetés pêle-mêle le verre le plastique et tout...J'use d'électricité plus qu'il n'en faudrait, etc. Mais là, je laisse pas passer. En plus c'est même pas contraignant, et les grandes surfaces (certaines) ont déjà prohibé les sachets plastiques. En plus, elle me connaît la caissière, elle sait qu'à chaque fois je l'empêche de fourrer ce que j'achète dans ce maudit sac plastic qui ne sert à rien, ou que je les enlève. Mais non...

Mardi 11 décembre 2007 à 19:15

Comment fait-on quand on se sent complètement différent du monde dans lequel on évolue?
Cette impression de voir tout ça de haut, les jambes ballantes, le regard écarquillé au-dessus des gens? D'être la seule personne qui s'arrête en plein milieu d'une rue pour profiter du spectacle d'un soleil se déclinant à l'infini? Sentir que les passants autour se promènent les yeux sur leurs pompes fait presque mal. C'est dommage tout ce que l'on perd tous les jours: Le Beau, le laid, le neutre, les couleurs et les expressions...

    Le sourire est un espèce en voie de disparition, qui resurgit de manière ponctuelle et privée- on a trop peur qu'il aille se fixer sur la face d'un autre (en plus, le pauvre, il a rien pour lui : en plus d'être autre, il est inconnu!), peur qu'il se multiplie, se propage, contamine, gagne une majorité sans programme politique agressif, juste pour le geste. Une pandémie.
Expérience : Sourire 10min à tout va dans le métro. Après avoir dompté le reflexe individualiste et normal (on a perdu l'habitude) de baisser le menton, en un geste instinctif qui tend à dissimuler le sourire, après avoir relevé le menton, vous allez voir que le fait de sourire vous fera le plus grand bien; et que si le geste est forcé à la base, il devient de plus en plus volontaire et sincère. Souriez à tous et toutes.
Résultat : je n'ai rencontré que regards qui se détournèrent, quelques sourcils froncés, certains visages interrogatifs, des regards de travers et...une ébauche d'un demi-sourire. Victoire!
Drôle d'époque.





Cadeau rien que pour vous : citation d'une chanson entendue le matin même, du rappeur El Matador : " Tous les handicapés social..." (aaaaaaaaaaaaargh...gueu, gniééuuh...Aaaah argh....Simulation de crise cardiaque littéraire.) Amis du soir. Bonsoir.


Lundi 10 décembre 2007 à 20:51

Je m'invente à chaque pas.



Et on se perd à chaque seconde.

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