Il y a eu les Contes de Perrault.
L'insoutenable légèreté de l'être de Kundera.
La plus belle fille de la ville, in Contes de la Folie Ordinaire de Bukowski.
Et d'autres que la fatigue ne me permet pas de citer...
Mais aujourd'hui, ce sont les Lettres à un jeune poète de Rainer Maria Rilke.
A ceux qui comprennent que solitude ne veut pas dire isolement,
à ceux qui voudraient explorer leur solitude et pensent ne pas pouvoir,
à ceux qui ont peur d'être seuls, et qui fuient
leur esprit, leurs tourments, leurs peines et joies,
à ceux qui ne sont pas tranquilles,
à ceux qui ne comprennent rien à l'amour, l'humain et la vie,
à ceux qui aiment lire,
à ceux qui aiment lire une belle écriture,
à ceux qui auront aimé poser des mots sur un support,
à ceux qui s'aiment et ceux qui se cherchent....
A ceux qui comprennent que solitude ne veut pas dire isolement,
à ceux qui voudraient explorer leur solitude et pensent ne pas pouvoir,
à ceux qui ont peur d'être seuls, et qui fuient
leur esprit, leurs tourments, leurs peines et joies,
à ceux qui ne sont pas tranquilles,
à ceux qui ne comprennent rien à l'amour, l'humain et la vie,
à ceux qui aiment lire,
à ceux qui aiment lire une belle écriture,
à ceux qui auront aimé poser des mots sur un support,
à ceux qui s'aiment et ceux qui se cherchent....
Bonne continuation.