Lundi 18 janvier 2010 à 1:07

"Alors c’est Rien, c’est la fatigue
Si on a peur encore du noir
Si on se cache, si on s’endigue
Dès demain, on retournera voir

On peut bien pleurer dans nos bras
Hier on se serrait les poings


J’ai pas senti qu’il faisait froid
Je reviens vite les copains

C’est pas la fin, c’est une pause
J’ai toujours eu envie des autres
De sourire à celui qui ose
De fou rire au moindre des nôtres...

C’est juste que c'est la gueule au monde
Je sais, on fait jamais assez
Je sais, on en a bouffé de l’immonde
Et puis après? ça va passer...


Laissez vos, lumières allumées
J’ai besoin de vous souvenir
Et si ce soir je vais pleurer
Ben demain je va revenir..."

Il faut que je recrache de la fumée...Sombrer, mettre sur pause, faut que ça pleuve, les moments sont pas sûrs dans ma tête, si le sol s'effondre, je gueulerai pas.
 
"Comment ça va par chez toi?
T'as ramassé ce que t'as cassé?
Pour cet hiver ca ira le bois?
Et ta plaie s'est elle effacée?"
 
 
 
Je suis venue me réfugier.

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