Mercredi 30 janvier 2008 à 18:12

Le soleil revient un peu. J'ai l'humeur au beau fixe. C'est drôle! Un rien, qui fait tout...Il y a des moments où tout semble plus évident...

Et Stevie Wonder.
"First the feeling's alright
Then it's gone from sight
So I'm taking out this time to say

Oh if you really love me won't you tell me..
Oh if you really love me won't you tell me..
And if you really love me won't you tell me..
Then I won't have to be
Playing around no
Playing around no
Hey yeah
Goofin' around no
Oh baby
Playing around no
Let me know how you feel baby
Hey oh baby
Playing around no..."

" Isn't she lovely, Isn't she wonderful [...] But isn't she lovely made from love..."
" 'Cause I was made to love her,
I was made to live for her, yeah!

Ah, I was made to love her,
Built my world all around her,
Hey, hey, hey.

Oo baby, I was made to please her,
You know Stevie ain't gonna leave her, no,
Hey, hey, hey. !"

"
I don't know why I love you
I don't know
You and me baby, oh
I don't know why I love you baby
But I love you baby"

And don't forget : "Superstition ain't the way!"

Mardi 22 janvier 2008 à 23:46

" Le Petit Chaperon rouge se déshabille, et va se mettre dans le lit, où elle fut bien étonnée de voir comment sa Mère-grand était faite en son déshabillé. Elle lui dit :
Ma mère-grand, que vous avez de grands bras ?
C'est pour mieux t'embrasser, ma fille.
Ma mère-grand, que vous avez de grandes jambes ?
C'est pour mieux courir, mon enfant.
Ma mère-grand, que vous avez de grandes oreilles ?
C'est pour mieux écouter, mon enfant.
Ma mère-grand, que vous avez de grands yeux ?
C'est pour mieux voir, mon enfant.
Ma mère-grand, que vous avez de grandes dents ?
C'est pour te manger.
Et en disant ces mots, ce méchant Loup se jeta sur le Petit Chaperon rouge, et la mangea.

MORALITÉ
On voit ici que de jeunes enfants,
Surtout de jeunes filles
Belles, bien faites, et gentilles,
Font très mal d'écouter toute sorte de gens,
Et que ce n'est pas chose étrange,
S'il en est tant que le Loup mange.
Je dis le Loup,
car tous les Loups ne sont pas de la même sorte ;
Il en est d'une humeur accorte,
Sans bruit, sans fiel et sans courroux,
Qui privés, complaisants et doux,
Suivent les jeunes Demoiselles jusque dans les maisons, jusque dans les ruelles ;
Mais hélas ! qui ne sait que ces loups doucereux,
De tous les loups sont les plus dangereux. "



Allez savoir pourquoi, je ne sais pas si il y a un sens mais j'ai toujours trouvé beaux les loups et il faut toujours que je morde qd j'ai quelque chose dans la bouche...


Mardi 15 janvier 2008 à 22:46

"Drôle, d'idée, de n'avoir en chemin, qu'un point de chute incertain..."

Bang, bang, I used to shot me down...Bang, Bang I hit the ground...And i'm waiting for my soul ending...Will it happear one day?  I settle myself, I become clearer letter by a letter. I saw my ideas falling from my roost, i was frightened, i saw the end before it began...and i've let myself fall after...
Usually, i fell and my ideas came after, I felt the changing before it occured. Now I see my ideas falling in me, not like a decline, but like a heap, some particules of me in progress...

Do I become an...

Musique : Tarmac - Inùtil
Tarmac-Tout un pan de moi
et d'autres...


Jeudi 10 janvier 2008 à 2:36

Vous mettre un extrait de Sur la Route de Kerouac
et de L'insoutenable légèreté de l'être de Milan Kundera. De vrais extraits.

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
J'aime particulièrement le dernier livre :

« Notre vie quotidienne est bombardée de hasards, plus exactement de rencontres fortuites entre les gens et les événements, ce qu'on appelle des coïncidences. Il y a coïncidence quand deux événements inattendus se produisent en même temps , quand ils se rencontrent : Tomas apparaît dans la brasserie au moment où la radio joue du Beethoven... »

«Il y a des idées qui sont comme un attentat.»
«Ce qui distingue l'autodidacte de celui qui a fait des études, ce n'est pas l'ampleur des connaissances, mais des degrés différents de vitalité et de confiance en soi.»
«Ne pouvoir vivre qu'une vie, c'est comme ne pas vivre du tout.»
«Pour qu'un amour soit inoubliable, il faut que les hasards s'y rejoignent dès le premier instant.»
«Les métaphores sont dangereuses. L'amour commence par une métaphore.»
«Qui cherche l'infini n'a qu'à fermer les yeux.»
«L'amour physique est impensable sans violence.»
«Trahir, c'est sortir du rang et partir dans l'inconnu.»

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Quatrième de couverture, L'insoutenable légèreté de l'être :

"Qu'est-il resté des agonisants du Cambodge ?
Une grande photo de la star américaine tenant dans ses bras un enfant jaune.
Qu' est-il resté de Thomas ?
Une inscription : il voulait le Royaume de Dieu sur la terre.
Qu' est-il resté de Beethoven ?
Un homme morose à l'invraisemblable crinière, qui prononce d'une voix sombre : Es muss sein ! 'Qu' est-il resté de Franz ?
Une inscription : Après un long égarement, le retour.
Et ainsi de suite, et ainsi de suite. Avant d'être oubliés, nous serons changés en kitsch. Le kitsch, c'est la station de correspondance entre l'être et l'oubli."

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Quatrième de couverture, Sur la route :

" 'Sur la Route' est le livre clef de la 'beat generation'. C'est le récit des errances de l'auteur (Jack Kerouac porte le pseudonyme de Sal Paradise) sur les routes américaines. Voyageant en auto-stop, logeant chez qui l'accepte, partageant femmes et alcool avec des amis d'un jour, Kerouac s'abandonne à la loi du hasard, à la recherche d'une fraternité réelle. 'Sur la route' est le compte rendu de cette quête, de ses moments d'euphorie, mais aussi de ses passages à vide et ses échecs."


Samedi 5 janvier 2008 à 23:49

Je prends l'eau.

<< Page précédente | 1 | 2 | Page suivante >>

Créer un podcast